Le gars du câble bandes sonores
Le gars du câble

Musique Le gars du câble

1996. 16 chansons

Lorsque Steven Kovacs, jeune architecte, emménage dans son nouvel appartement, il propose à l’installateur les fameux cinquante dollars en échange des programmes dont il a envie. Mais celui‐ci refuse d’être payé. Tout ce qu’il veut, c’est un ami. Et selon lui, Steven est le parfait candidat.

  • My Three Sons — Frank DeVol
    Thème de « Mes trois fils ».
  • T.V. Is the Thing This Year — Dinah Washington
    Après Steven a des problèmes avec sa boîte de câble.
  • End of the World — David Hilder
  • Hey Man Nice Shot — Filter
    Le match de basket-ball entre « Chip » et Steven.
  • Standing Outside a Broken Phone Booth With Money In My Hand — Primitive Radio Gods
    Steven invite Robin dans son nouvel appartement dans un effort de réconciliation.
  • Blind — Silverchair
    Bataille de chevaliers entre Steven et Chip, à l’époque médiévale
  • The Ritual / Ancient Battle / 2nd Kroykah — Gerald Fried & Sol Kaplan
    « Chip » compare sa joute avec Steven à Medieval Times au combat réticent entre Kirk et Spock dans l’épisode de Star Trek « Amok Time ».
  • Rock the Boat — Wally Holmes
    parti.
  • Pusher Man — Curtis Mayfield
    « Chip » entre dans un restaurant haut de gamme pour fouiner lors du rendez-vous de Robin habillé comme « Priest ».
  • Salt Peanuts — Dizzy Gillespie
    Le rendez-vous de Robin a une rencontre malheureuse avec « Chip » dans la salle des hommes du restaurant haut de gamme.
  • Satellite of Love — Porno for Pyros
  • Unattractive (Live) — Toadies
    Rick dépose Steven sur lui sous la pluie battante alors qu’il se dirigeait vers un concert.
  • More Human Than Human — White Zombie
    Steven se précipite pour récupérer la vidéo cachée de lui insultant son patron.
  • Somebody to Love — Jefferson Airplane
    La chanson karaoké du câblodistributeur (techniquement « *Cast Of The Cable Guy » :)
  • American Woman — The Guess Who
    Vieux gars ayant un ballon. karaoké
  • Leave Me Alone (Remix) — Jerry Cantrell
    Crédits de fin.